Heureusement la profession de vendeur à une meilleure image que par le passé, longtemps un vendeur était considéré comme un charlatan, un «baratineur», et seuls ceux qui avaient du «bagout » pouvaient réussir dans ce métier. Le mot vendeur reste néanmoins aujourd’hui encore repoussant, que cela soit pour ceux qui font de la vente, ainsi que pour les clients potentiels. «Ah, donc vous êtes un vendeur?» «Il va essayer de me vendre quelque chose…».

Cela n’est pas par hasard que des titres de différentes natures sont venus «habiller» cette profession: Nous ne sommes plus un vendeur nous sommes un conseiller d’affaires, un technico-commercial, un consultant, un responsable ou un directeur de comptes, etc.

• Le taux d’échec associé à la prospection traditionnelle est supérieur à 99%,
• Dans 57% des cas, le processus d’achat a débuté avant même que l’on sache qu’il a commencé
• 65% des « tops vendeurs » utilisent les réseaux sociaux dans leurs processus de vente

Les clients et consommateurs sont de plus en plus suspicieux et embarrassés lorsque vient le temps de prendre une décision d’achat, et ne savent plus à qui se référer.

• La publicité qui tourne en boucle nous infantilise
• Les forums de discussions et témoignages controversés compliquent nos choix
• Le discours du vendeur qui sort l’argument miracle «faites-moi confiance» ne nous rassure pas vraiment
• La multitude d’offres et d’options mises à notre disposition nous incite à prendre notre temps et à faire des analyses pointues

Même si nous faisons face à une transformation dans les habitudes d’achat, il y aura toujours de la place pour la relation humaine et pour la profession de vendeur.  Plus que jamais, des compétences clés sont nécessaires pour s’ajuster à ces nouvelles donnes. Il n’y a pas encore si longtemps pour beaucoup de professions, le téléphone sonnait, les clients étaient fidèles, le relationnel suffisait pour faire des affaires.

Les sites internet, les réseaux sociaux, les messages publicitaires sont indispensables, mais ne remplaceront jamais ce qu’un individu peut réaliser en face à face ou au téléphone avec un client. Aussi il devient important plus que jamais de posséder des compétences qui permettent de faire la différence pour atteindre ses objectifs. Une étude récente démontre qu’en moyenne 53% des vendeurs n’atteignent pas leurs objectifs de vente.

La pression des entreprises qui déploient des forces de vente est de plus en plus forte, car l’acquisition de nouveaux clients est de plus en plus onéreuse. Il devient un défi pour de nombreuses industries de développer et fidéliser des clients. De nombreuses professions dont ce n’est pas le métier sont condamnées à faire du développement d’affaires, et de la mise en marché. Des avocats, des notaires, des artistes, des coachs, etc. n’ont plus le choix, quel que soit leur niveau d’expertise, de «vendre» leurs services.

La question qui est posée dans de nombreuses entreprises : «Comment atteindre ses buts le plus rapidement possible avec un minimum de ressources?» Que cela soit le temps, l’argent, les efforts, etc.

Arrêtons de penser que la vente est une activité malhonnête et réservée à une catégorie d’individu qui ne pense qu’à faire de l’argent et à manipuler un client. Transformons nos croyances et notre vision des choses en pensant que la vente c’est avant tout d’aider un client avec une solution (produit ou service) qui le satisfera et comblera ses besoins. La vente c’est aussi aider son client à prendre une décision (et la bonne) dans un univers où les options sont multiples et très ressemblantes.

Être un bon vendeur demande plus que jamais des compétences, des techniques, de la psychologie, du talent, des efforts mesurés et précis.

C’est une des raisons qui m’a incité à créer ce coaching gratuit auquel je vous invite à participer, j’y partage mon expertise et mes expériences accumulées sur 3 continents qui m’ont donné l’opportunité de travailler avec les plus grandes firmes.

Voici le lien—> Je veux booster mes ventes… Je relève le défi!

Je vous souhaite un très bel été.